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Des petits pas, je veux devenir meilleur, faire ma transition !

Cet article va inaugurer une nouvelle série d’articles sans rapport direct avec la photographie, parce que des idées grandissent dans cette société et que j’ai envie d’en faire écho.

Certains disent que nous sommes ce que nous faisons!

Alors dans ce monde en pleine folie, l’impression nous vient souvent que nos efforts sont vains face à l’ensemble d’une collectivité qui semble perdre la tête.
Que faire alors pour changer les choses lorsque nos décideurs perdent le sens des réalités, que le vote devient une mascarade puisqu’il n’ouvre plus à de vrais choix?
Puisque l’économie devient la nouvelle religion, que nous nous résumons de plus en plus à des consommateurs, là est peut être notre pouvoir de changer les choses : devenons des consomm’acteurs
Depuis quelques temps, je trouve certaines idées intéressantes chez des personnes comme Pierre Rabhi, Claude Bourguignon…, ces personnes ne disent pas que du vrai, mais leurs idées ouvrent l’esprit à autre chose.
Alors pour avancer, ne pas juste dire que les choses ne me vont pas, j’ai décidé d’agir à mon échelle, au petit à petit, sans rupture avec ma vie d’aujourd’hui mais dans l’idée d’une transition.

Pour commencer, j’ai décidé de changer de fournisseur d’énergie pour aller vers de l’énergie verte en prenant un fournisseur s’engageant à ne fournir que de l’énergie issue du renouvelable, un moyen de forcer cette production nouvelle qui permettra un meilleur avenir pour tous. Si les entreprises répondent à une demande, autant demander ce qui nous permettra de vivre mieux demain.

En parallèle, je commence à voir comment diminuer mes besoins en énergie au petit à petit, pas question de le faire dans la frustration mais en devenant plus rationnel. Pourquoi un chauffe-eau ballon est si mal réglé de base pour être économe ? De nouveaux systèmes existent pour ne plus laisser d’appareils en veille pour rien, je les mets en place.

Attristé de voir la nourriture que nous ingurgitons, j’ai lancé un potager avec la règle de ne mettre aucun produit chimique, que des semences paysannes ou presque afin de mieux manger et reprendre contact avec ce qui pousse, retrouver les saisons.

Un lombricomposteur depuis 2 ans dans ma cuisine pour recycler directement les déchets verts me donne du compost et de l’engrais tout en diminuant mes poubelles à descendre.

Même si je n’ai toujours pas fait le choix de devenir végétarien ou vegan, j’ai grandement diminué ma consommation de viande et j’essaie de trouver des sources de viande et plus largement nourritures plus locales, respectueuses de l’environnement et de notre santé.
J’essaie de diminuer mes déchets et de m’orienter vers une sobriété heureuse, mieux profiter de ce que j’ai, vivre mieux.

Alors, si ces préoccupations sont aussi les vôtres, j’espère que nous aurons l’occasion de parler de ces petits pas que nous faisons pour un meilleur avenir !
Finalement, Nicolas le photographe est aussi un peu jardinier 😉

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Photographes et coworking

Pour commencer, un petit bonus, une petite vidéo présentant quelques photos réalisées pour les 5 ans de Local 19, Coincoin powa !

5 ans en arrière, Local 19, l’espace de coworking de Clermont-Ferrand était créé par un photographe, une graphiste, rejoints très rapidement par un développeur ainsi qu’un concepteur rédacteur.
Etonnant de voir qu’aujourd’hui, les espaces de co-working accueillent ces emplois de manière presque systématique.
En effet, les espaces de coworking sont peuplés de créatifs aux emplois de photographes, vidéastes, graphistes, créateurs de startup, rédacteurs en leurs murs de manière presque systématique mais pourquoi ?

Cela permet de casser la solitude du créatif !

Travailler seul chez soi est parfois compliqué à vivre sur le long terme. Une perte de repères temporels, de liaisons sociales, de dynamisme finissent souvent par se faire sentir. Le coworking permet de mieux structurer sa vie de travail d’indépendant, de retrouver l’impression d’un travail d’équipe, de cloisonner la vie professionnelle de la vie personnelle.
Cela est d’autant plus vrai pour les indépendants ayant une vie de famille, difficile de débrancher à moins de 5 mètres de son bureau de travail.
Certains se créent un bureau dans un cabanon au bout du jardin pour échapper à cette confrontation, d’autres intègrent des espaces de coworking.

Du coup, il semble se créer une nouvelle relation étroite entre les photographes et les espaces de coworking.
Souvent, en croisant un confrère, après discussion, il m’annonce évoluer dans un tiers-lieu.
Si cela montre que les photographes s’ouvrent, restent moins isolés qu’avant, cela montre le besoin de lien social au travail comme dans la vie.
Les photographes y trouvent aussi des clients potentiels grâce aux relations avec les autres coworkers, certains entrepreneurs ayant besoin de compétences de photographie sont heureux d’avoir une personne en interne à leur espace pour répondre à ces besoins.
Une association fructueuse et positive qui ne semble que commencer !

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Photographie de spectacle avec la compagnie Moriquendï

Pour leur communication, Les compagnies de spectacle de rue ont besoin de photographies montrant la beauté de leurs créations.

Photographie de spectacle de feu

La déesse des flammes en action …

Pour cette raison, je me suis retrouvé à réaliser des photographies de spectacle de feu pour la compagnie Moriquendï. Si cette compagnie est auvergnate, elle se déplace sur toute la France afin de réaliser des spectacles aboutis pour différents publics.

Artiste durant un spectacle de feu pour une fête médiévale.

Comme un ange aux ailes de feu

Des spectacles avec décors, scénarios, mises en scène qui séduisent tous les spectateurs depuis déjà plusieurs années.

Artiste de rue portant un sabre de feu

Au delà du plaisir du photographe, il est très plaisant de voir les propositions artistiques des compagnies, de collaborer avec eux. Un beau moyen de partager autour de l’art et d’amener le plus du photographe professionnel.

Photographie de spectacle de feu et artifices

Pas de triche pour ces photographies, elles proviennent d’un spectacle durant la fête médiévale de Bourg-Argental, je ne montre rien de plus que ce que les spectateurs ont vu !
Je vous encourage à aller découvrir leur travail sur leur site mais surtout à aller voir leurs prestations scéniques !

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Fête foraine de nuit : une nouvelle série ?

Même si les vacances sont rares et courtes, un photographe professionnel n’arrive pas à laisser son appareil derrière lui pour ses voyages.
Cette année, mes vacances m’ont porté vers le sud de la France. Par chance, il m’a été permis de visiter une fête foraine durant les fermetures au public, de nuit.

Photographie de nuit dans une fête foraine

une ambiance étrange

Fasciné par cette ambiance étrange, je n’ai pas pu résister à l’idée d’essayer de la retranscrire pour partie.
Marqué par des souvenirs de jeunesse de films d’horreur, comme une impression de fin de film à l’américaine.

Photographie d'un manège durant la nuit noire

un petit tour de manège fantôme ?

cette espèce de suspension du temps est très étrange, un peu comme une balade dans la nuit noire, avec l’impression que « ça » va sortir d’un manège.

Photographie d'une attraction de fête foraine la nuit

Du coup, je commence à me poser la question de réaliser une série complète sur ce sujet, un moyen de sortir des travaux de commande qui me prennent beaucoup de temps.

Photographie en noir et blanc d'une attraction de fête foraine

Incroyable de voir que le photographe professionnel garde autant de plaisir l’appareil à la main surtout en dehors du travail, un moyen de se redécouvrir photographe, autrement.

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Mes nouvelles cartes de visites – photographe professionnel

Pendant pas mal de temps, je me suis refusé à refaire des cartes de visite, allez savoir pourquoi!
Du coup, lorsqu’une stagiaire qui aimait cet exercice a passé un peu de temps chez moi, je lui ai confié de me faire un petit logo personnalisé.
J’aimais bien l’idée de l’appareil photo avec une barbe pour me représenter, les voilà !

Photographie des cartes de visite d'un studio de photographes professionnels
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Photographe de mariage : la saison commence !

Comme chaque année, l’activité de photographie de mariage se concentre de mai à septembre, au point de parler de saison des mariages pour les photographes professionnels.
Les appareils révisés, la nouvelle constitution du sac à dos de reportage établie, les derniers tests de nouveaux matériels faits, la veille sur les grands spécialistes de la photographie de mariage pour saisir les nouvelles tendances : tous ces passages indispensables pour ceux qui veulent bien entamer leur saison. Bref, c’est parti !

Marié faisant le fou sur un scooter .

Un marié pressé de retrouver sa belle !

Il reste quelques dates de libre, surtout que nous serons 2 photographes pour les mariages cette année, alors n’hésitez pas à vous renseigner, même en dernière minute, si nous ne sommes pas disponibles, nous pourrons toujours vous conseiller !
LA section mariage de mon site est ICI !

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Local 19 : co-working, une aventure en Danger

Voilà 5 ans que j’ai démarré une belle aventure, celle de créer avec Sophie et Matthieu un espace de co-working nommé Local 19 à Clermont-Ferrand, j’ai partagé sur ce blog certaines phases de sa création, de ses avancées alors j’ai voulu partager avec vous ce moment de doute.

Photographie de l'espace de co-working Local 19.

Notre espace avant, 40m2 des 120 m2 de l’ensemble.

Nous y avons vécu beaucoup de choses, à commencer par une aventure du vivre et travailler ensemble, des rires, une sonnette qui faisait coin-coin à chaque fois qu’un devis était validé ou qu’une réussite de plus pointait son nez.
Nous nous sommes consultés pour nos projets, conseillés, poussés vers l’avant. Toujours exigeants dans le professionnel avec ce sentiment incroyable d’être chanceux, de travailler auprès de gens doués dans ce qu’ils font, des vrais pros avec lesquels partager une bière après le travail. Certains projets et nouvelles collaborations se sont scellés dans ce contexte.

Mais voilà, chaque aventure comporte aussi ses écueils, ses complications comme aujourd’hui.
Suite à un départ massif de « localiens » du à des choix professionnels fin avril, la question se pose aujourd’hui de savoir si Local 19 a encore un sens, une raison d’être ?!

Ceux qui partent le font pour aller vers d’autres opportunités, leur départ de l’espace de co-working me rend triste même s’ils ne seront pas si loin, surtout en sachant l’engagement qu’ils ont mis pour le faire perdurer et progresser mais je comprends leurs motivations légitimes.

Photographie du coin détente d'un espace de co-working à Clermont-Ferrand nommé Local 19

Notre coin détente ou réception de clients.

Nous construisons avec le coeur des projets comme Local 19. Deux ans en arrière, nous avons changé de locaux, cela n’a été possible que grâce à l’engagement incroyable des localiens.

Trop de bureaux vides mettent en péril les finances mais plus encore l’esprit du lieu, la synergie, le dynamisme qui doivent y naître.

Ce mois de mai sera décisif car nous devons trouver des personnes intéressées pour rejoindre l’aventure, prendre un bureau à temps plein dans notre espace de co-working, des professionnels autour de la communication et du web, des arts afin de trouver un nouveau mode de fonctionnement et pérenniser cet espace de co-working.

Alors, si vous connaissez des gens intéressés par un bureau dans un espace de co-working en centre ville de Clermont-ferrand, n’hésitez pas à nous les envoyer, cela permettra peut être de ne pas avoir une vitrine vide en plus dans cette rue, de mettre des indépendants dynamique dans un même lieu pour construire demain, une fois de plus, chaque bonne volonté est bienvenue !

Coin coin forever !

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Modèle photo: cette nouvelle viande fraiche qui pourrait remplacer le cheval ?!

Un petit article qui ne m’aidera pas à me faire des amis chez les photographes comme chez les modèles mais je dois finalement être un homme de polémique. Encore une fois, je ne m’exclue pas de cette situation mais je me pose des questions.

Femme écrasée par une lasagne

Petit clin d’oeil à Lachapelle avec ce mauvais montage d’illustration 😉

Si la situation des photographes professionnels n’est pas fabuleuse, que dire de l’évolution des modèles photo (gagner sa vie ne doit pas être simple), notamment depuis l’arrivée d’internet et des réseaux sociaux?

Quand j’ai débuté la photo, Internet n’avait pas encore de portée dans cette société (je sais, je suis vieux) et les modèles photos étaient rares et précieuses, celles et ceux qui posaient pour du nu affichaient clairement la rémunération demandée.
En photographes débutants, nous demandions aux ami(e)s de se prêter au jeu d’échanger leurs services de modèles contre quelques tirages.
Ces modèles étaient là par amitié, pour l’argent ou pour participer à des projets artistiques dans lesquels elles avaient foi.

Quelques 20 ans plus tard : Internet, Facebook, instagram et autres sont passés par là, les choses ont changé !

Vous trouvez même des photographes qui font passer des « castings » pour les modèles qui vont poser nues pour eux sans rémunération dans des photographies qui servent à :
Flatter leur Ego? Booster le trafic sur leur site? Obtenir plus de likes sur facebook? Voir de belles femmes nues? Collectionner les décolletés pour constituer un nouveau jeu de cartes? négocier un rancard plus tard?

Certains photographes se sont spécialisés dans la poitrine de modèles, d’autres dans les cuisses, de biens beaux étalages plus proches de ceux du marché à viande que de la réelle démarche artistique. Les féministes doivent adorer cette utilisation du corps de la femme 😉
Bien loin d’être contre la photographie de nu (j’adore les beaux nus artistiques comme tout le monde), je me demande quelles sont les motivations des protagonistes dans cette débauche de nouvelles images dont le flux s’est emballé depuis quelques années.

Entre les photographes libidineux qui ont trouvé le moyen de remplacer leur sexe par leur objectif (ou l’inverse, je sais plus), les bons commerciaux qui ont compris que le nu fait vendre, les hommes et femmes en manque de reconnaissance, où est la photographie?

Loin de moi l’idée de généraliser mais je vois beaucoup d’images où le corps de la femme est bien plus vendu que le talent du photographe ou une réelle création artistique. En amateur d’art, de photographie, j’espère toujours trouver une justification à une photographie, une idée sous-jacente qui valide le projet, me permette de m’émerveiller tant sur le fond que la réalisation finale, cela est rarement le cas.

Ne serait-ce pas une évolution normale au moment où nos vies sont jugées sur notre image, nos photos instagram, nos publications facebook. Nous mettons en photo jusqu’à notre repas du midi, notre style du jour alors pourquoi pas de belles photos de nous?!
Alors, forcément, les modèles affluent en masse et la quantité de photographes suit la tendance dans ce monde d’image où le matériel, le savoir se démocratisent. Petite réflexion personnelle, cela n’irait pas un peu loin?
Face à cette croissance de la photographie et de l’image, vous avez des groupes de rassemblements de modèles, de photographes, coiffeuses, maquilleuses qui se constituent pour la mise en relation de tout ce beau monde, une espère de cour des miracles où les modèles moins jolies flattent les photographes moins mauvais (ceux qui savent les rendre bonnasses) et les photographes prennent leur ticket pour avoir les modèles au plus belles plastiques.

Tous les modèles posant pour tous les photographes dans une forme de photo-consanguinité qui amène une certaine homogénéité au résultat.

Evidemment, je dresse volontairement une vision noire, un peu violente pour mettre l’accent sur les travers de cette évolution mais des photographes, maquilleuses, modèles de talent qui appartiennent à ces milieux font des photographies magnifiques (pas assez à mon goût).
Alors, je comprends le désir d’avoir des photographies valorisantes de soi, de poser, je comprends l’envie de travailler avec des modèles pour progresser.
Mais demandez-vous ce qui sort des images que vous présentez et la motivation sous-jacente ?

Trop d’image pour montrer du « cul », trop de photographie sexualisées ou narcissiques, trop de photographes qui se valorisent sur le dos des modèles, trop de modèles qui montrent des projets sans intérêt, trop de gens qui veulent se servir de la photographie pour de mauvaises raisons.

Modèles, je suis désolé du traitement qui vous est fait, vous méritez que nous soyons de meilleurs photographes et de meilleurs hommes !

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David Nebreda : artiste photographe torturé

Certains artistes photographes, de part leur oeuvre ne peuvent pas laisser indifférent.
David Nebreda, artiste espagnol né en 1952 a réalisé des autoportraits qui marquent ceux qui les ont vu.
Si parler d’artiste à l’esprit torturé peut paraître fort, les nombreux internements dans des structures psychiatriques dont certains forcés montrent la caractère incroyable de la vie de cet homme.

Un artiste photographe sans compromis

Un artiste photographe sans compromis


Parfois, la souffrance de l’artiste est parfois sa plus grande inspiration, ce qui le rend différent.
Son oeuvre est juste incroyable, fascinante, intemporelle et d’une magnifique esthétique au delà de tout cela. Un photographe à connaître pour ceux qui aiment une photographie sombre et contemporaine.
Autoportrait de David Nebreda

David Nebreda


D’après ce que j’ai lu, un film nommé ADN a été fait sur lui, j’adorerais le visionner !

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Photographie packshot et reportage pour la chocolaterie Vieillard

Les papilles encore flattées par les chocolats de ces fêtes, je me permets de vous remettre en appétit avec quelques photographies réalisées pour la chocolaterie Vieillard.

Photographie de quartiers d'orange en partie trempés dans le chocolat

Mes excuses si ça vous donne faim !

Fils d’un papâtissier et frère d’une pâtissière, faire de la photographie autour des métiers de bouches me fait d’autant plaisir qu’elle me permet de découvrir des laboratoires de traiteurs, pâtissiers, des cuisines de restaurants. Avec curiosité et délectation, je découvre leurs méthodes, leurs savoir-faire, des produits qu’ils ont créés avec passion pour le bonheur des gourmands comme moi !

Photographie durant la préparation d'intérieurs liqueur

Couler les liqueurs, un geste devenu rare !

Quand la chocolaterie Vieillard me sollicite pour des photographies de leurs produits pour le site internet ainsi que leur catalogue, j’y vais d’autant plus volontairement que ce domaine m’est familier.

Photographie de détail d'un ballotin de chocolats

Tout est beau jusqu’à l’emballage

Du coup, en plus des photographies de produits, j’ai pu passer quelques heures avec eux pour réaliser quelques photographies de reportage autour de leurs fabrications.

Si vous vous posiez la question, vous êtes bien dans une famille de chocolatiers !
Cela se ressent à tous niveaux, ils travaillent ensemble avec le respect de ce qui leur a été transmis, l’envie de perpétuer la qualité tout en s’adaptant à la modernité.
Un savant mélange d’intransigeance et d’innovation pour le goût des bonnes choses.
Vous n’imaginez pas quel a été mon plaisir dans une période ou tout est dévoyé, travesti sous des couvert d’artisanat de voir une broyeuse à l’ancienne en fonctionnement dans un laboratoire, de voir la découpe d’intérieurs à l’emporte-pièce, de voir couler des intérieurs liqueurs.

Découpe à l'emporte-pièce d'intérieurs pour chocolat

Un geste délicat répété pour former les intérieurs

Fils d’un dinosaure du métier, je finissais par croire qu’il était le dernier à cultiver ces méthodes anciennes, réellement artisanales à s’attacher à faire du « vrai », la visite des locaux de la chocolaterie Vieillard m’a détrompé.

Photographie d'une bouchée en chocolat

La gourmandise !

Si vous aimez le bon chocolat, voici leur SITE, vous pouvez même commander en ligne, régalez-vous !

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