Clermont-Ferrand

Première exposition à Local 19 : Amandine de Bouchard

Comme je l’avais annoncé, Local 19 sera aussi un lieu d’exposition pour des artistes contemporains et nous venons de faire le premier accrochage.

Des œuvres d’Amandine de Bouchard, une peintre dont je suis le travail depuis quelques années déjà et dont j’apprécie autant les qualités humaines que ses productions artistiques.

Voici la photo d’une de ses toiles ainsi qu’un texte de présentation:

L'une des oeuvres d'Amandine exposée à Local 19

« Artiste passionnée, Amandine de bouchard a pour terrain de prédilection: le fantastique.

Cette artiste de la haute loire ayant enseigné les arts plastiques aime intégrer à sa peinture
la force de ses émotions.

Au travers de ses paysages oniriques aux tons vifs et saisissants, certains reconnaîtront
des lieux réels de l’Auvergne tels qu’Alleuze ou St Ilpize. La réalité, par sa technique et le
choix des couleurs  y est réinventée pour imposer une autre vision.
Chacun est libre d’interpréter les flous, les transparences, les apparitions ou disparitions,
les mystérieuses formes peintes. Certains y verront le néant, tandis que d’autres y verront
l’espoir, la vie…

La peintre qui enchaine les expositions depuis quelques années trouve ses influences
dans les oeuvres de William Turner, Caspar David Friedrich, Gustave Moreau
aussi bien que dans les verbes de Victor Hugo, des sœurs Brontë ou encore Edgar Allan Poe.

Comme un instant éphémère, un état d’âme du moment, les peintures d’Amandine,
retranscrivent des émotions propres à chacun de nous… de la surprise, une profonde
mélancolie, une désarroi qui se mue en un sentiment de béatitude, une mystérieuse beauté
effrayante, mais terriblement attirante, une renaissance… » Marina De Bouchard

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Pourquoi regrouper les indépendants : le co-working

Les indépendants se retrouvent souvent à travailler à la maison pour éviter de payer un loyer commercial.

Ils finissent vite par être usés par ce mode de vie, qui fait que l’on ne sort jamais réellement du travail.

Pour cette raison, créer un espace de co-working dans un premier temps, cela permet de mutualiser un certain nombre de frais fixes, cela ouvrant la possibilité de prendre un espace plus grand tout en payant un prix par personne bien moins cher. Un lieu que l’on pourra faire vivre, moins austère qu’un bout de buanderie réhabilité en bureau ou un dessous d’escalier.

Mais cela va plus loin, cela permet d’établir une communication commune, de se faire bénéficier de ses réseaux respectifs. Quoi de plus agréable aussi que de demander à l’un de ses collogues un petit conseil en lui proposant une tasse de café, ce partage de compétences qui fait souvent défaut lorsqu’on travaille seul et rassure.

Beaucoup d’indépendants finissent par abandonner ce statut pour le coté rassurant de travailler avec d’autres personnes, de simplement partager, parce qu’il n’est pas facile de faire face à la peur du vide sans une personne qui connait bien votre situation, là pour vous soutenir.

Après, cela permet aussi une chose importante, de plus en plus d’entreprises rechignent à prendre plusieurs indépendants pour faire le travail, elles désirent une offre plus globale avec des interlocuteurs qu’il est possible de rencontrer, centraliser. Le fait de pouvoir créer des pôles de compétences  permet donc de leur offrir l’avantage d’une structure qui répondra à leurs attentes tout en bénéficiant des tarifs d’indépendants.

De même dans la sous-traitance d’agences qui préfèrent de plus en plus confier un projet en entier, pour éviter de gérer les relations entre les différents indépendants qui travaillent pour elle ponctuellement.

Après, j’entends déjà certains parler de la difficulté de cohabiter mais cela dépend de la bonne volonté de chacun. Il n’est pas si compliqué de partager avec des gens qui ont les mêmes soucis au quotidien, le même dynamisme, la même envie à la base : rester indépendant mais aller plus loin!

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Local19 : les entrepreneurs ensemble!

Local 19 à la prise des clefs, Sophie commence à prendre peur!

Salut, certains d’entre vous ont vu passer depuis peu le nom de Local19 mais qu’est ce que c’est?

Local19 est un local avec vitrine dans lequel 5 « collogues » (mélange de colocs et collègues) seront rassemblés pour travailler, tous indépendants travaillant autour de la communication et du web :

Vous pouvez dores et déjà y croiser la fameuse Sophie Navas : graphiste,  webdesigner (aussi illustratrice mal assumée malgré son talent).

De même, Rodolphe Canale, concepteur-rédacteur qui prépare un café qui décoiffe.

Sera bientôt parmi nous Matthieu Huguet, développeur informatique et spécialiste de l’administration réseau que certains nomment « L’oracle ».

Pour ma part, j’y occupe un bureau avec un petit studio supplémentaire qui permettra d’accueillir dans de meilleures conditions.

La peinture est à peine sèche mais la machine à café est opérationnelle donc tout va bien! Cet espace que nous voulons convivial servira aussi de lieu d’exposition pour des artistes contemporains de la photographie, l’illustration et la peinture alors n’hésitez pas à nous envoyer des dossiers ou passer nous voir pour en discuter, nous sommes au 19, rue Pascal à Clermont-Ferrand.

J’en profite pour remercier l’équipe d’Appuy Créateurs qui nous a bien aidé dans ce projet, comme d’habitude!

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Meilleur ouvrier de France

Ouvrage de Plomberie

L'œuvre de Nicolas DANIS pour le concours

Pour tous ceux qui s’intéressent à l’artisanat ou qui, comme moi, ont un parent dans ces professions, les meilleurs ouvriers de France ont toujours une connotation prestigieuse.

Nicolas DANIS, ayant été l’un des meilleurs ouvriers de France a vu son œuvre de concours exposée à la grande Halle avec d’autres artisans des différents corps de métiers, à cette occasion, je suis passé réaliser à sa demande un petit reportage.

Voici une photo détourée de l’œuvre et un petit texte de l’auteur:

« L’ouvrage réalisé pour le concours regroupe différentes difficultés, plus ou moins d’actualité sur le terrain. Ces difficultés demandent en majeure partie de maîtriser les bases du métier et des méthodes d’antan. On y retrouve de la forge via les rétreintes cuivre et acier, du cintrages au sable sur tubes cuivre et acier, des assemblages par soudures de différentes natures et bien d’autres difficultés encore.
Compagnon du devoir de formation, ma volonté est d’aller au plus loin dans le travail de la matière, en respectant des méthodes de base liées à mon métier « la plomberie ».
En suivant ce fil conducteur, le concours  « Un de Meilleurs Ouvrier de France » était pour moi l’occasion de faire découvrir au grand public un savoir faire et indirectement l’occasion de donner aux jeunes professionnels l’envie d’aller au bout de leurs projets, de leurs rêves.
Car je suis persuadé, que l’évolution dans un métier est beaucoup plus significative avec la passion et le rêve. Si j’ai pu, à travers ce concours donner l’impulsion a un jeune, pour moi le concours est gagné! »
Danis Nicolas
« Un des Meilleurs Ouvriers de France » 2011
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L’effeuillage Burlesque par Galliane

Galliane

Galliane de Whispers & Shadows

Avec son dynamisme habituel, Galliane de l’ombre des murmures et Whispers and Shadows a décidé de mettre un peu de son énergie au service des femmes.

Pour leur permettre de découvrir, apprendre ou perfectionner leur science de l’effeuillage avec de l’impertinence, de l’humour, du goût et l’envie première de se faire plaisir avant tout, elle organise des soirées sur l’effeuillage burlesque. Pétillante comme à son habitude, Galliane vous montre quelques uns de ses trucs pour toujours repousser l’ennuie et la monotonie. Avide de tout ce qui est à la croisée des chemins entre humour et sensualité, cherchant l’accessoire qui amène le petit plus, elle saura amener le grain de folie indispensable.

Cliquez sur la jolie Galliane pour accéder à son blog

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L’art contestataire est-il contestable?

panneau pub barbouillé

Un panneau où des plaisantins ont laissé leur marque sur la peinture fraîche!

Sujet difficile que celui là!

voici une photo d’un panneau publicitaire sur lequel a été badigeonnée de la peinture blanche, au pied de ce panneau des feuilles expliquant le pourquoi de cette action, j’ai trouvé le rendu intéressant car ces affiches prennent une nouvelle dimension, des touches un peu picturales sous l’effet flouté d’une peinture qui n’était pas sèche, ceci en plein pendant le week end des arts en balade.
Dans ce cas, la peinture sera aisément enlevée, la travail étant déjà en partie opéré par la pluie, preuve que le désir n’est pas de dégrader mais de faire passer un message. Même si cette opération a été faite dans une démarche qui ne se veut pas artistique, ce genre d’action me rappelle un projet sur les greffons plastiques l’an derniers où étaient peintes des flèches au pied des caméras de surveillance de la ville de Clermont-Ferrand. Là encore une action sans volonté de détruire mais avec le désir de révéler au gens une réalité et nous rappeler que nous subissons certaines choses sans aucun choix de notre part mis à part celui de faire l’autruche.

Loin de moi l’idée de vouloir lancer un débat politique sur la publicité ou la surveillance des pouvoirs publics, mais plutôt de me questionner la place de la contestation dans l’art, les artistes ont le droit de contester au travers de leurs œuvres exposées dans des lieux prévus pour cela, mais ont-ils le droit de réaliser ce genre d’actions dans la rue?

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Un drôle de mariage

Voici quelques images très classiques dans les poses et les lumières mais avec un couple hors norme.

Des mariés un peu particuliers

Lorsque de grands enfants se retrouvent autour d’un « si… », cela ne peut donner que des images improbables qui mêlent l’absurde à la fantaisie. Ravi d’avoir participé à cette séance devant un public amusé dans le jardin Lecoq.

Le cortège vers le lieu de la séance!

Plus particulièrement dans la roseraie qui a vu passer tant de mariés, le but n’étant pas de bousculer la vision du mariage ou de militer pour quelque cause, juste pour rire! N’empêche qu’ils s’en sortent très bien dans leurs rôles respectifs, merci à eux pour leur humour et leur bonne humeur!

Des mariés qui ont le goût de la mise en scène

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Clermont-Ferrand : une ville à vivre

Clermont-Ferrand a changé sur bien des points, il est fini le temps de ma jeunesse où passé 20 heures, le centre était désert au point d’entendre se glisser dans la tête un air d’Ennio Morricone, il y a du mouvement, des bars sympas, des expos à tout va!

Aujourd’hui, je me déplace beaucoup notamment à Paris pour le travail et plutôt que de trouver ma ville plus ennuyeuse au retour, à la vérité, elle me plaît plus que jamais! Les jours passent et je suis de plus en plus conscient de la chance de vivre dans une ville à taille humaine, ouvrant pourtant la possibilité de profiter de la plupart des avantages des grandes villes.

Entre hier et aujourd’hui, j’ai pu faire 4 vernissages d’expositions intéressantes et en visiter quelques autres, faire de belles découvertes et rencontres, même si elles n’ont pas le poids des grandes expositions parisiennes bien sur. Mais qu’à cela ne tienne, ce week end, la ville voit se dérouler la 16ème édition des arts en balade : une ouverture d’ateliers et lieux pour découvrir les artistes d’ici, l’art ancré dans la ville.

Surpris par une qualité grandissante de ce qui est présenté, on ne peut que saluer des initiatives comme l’exposition « Un corps inattendu » au FRAC auvergne qui regroupe des œuvres d’artistes comme KLEIN, MIRO, ALECHINSKY, BASQUIAT, CHAGALL, PICASSO et bien d’autres (si vous n’y avez pas encore mis les pieds, foncez car c’est exceptionnel pour une ville comme Clermont-Ferrand). Notons aussi la transformation de l’hôtel Fontfreyde en centre photographique pour nous proposer du Martin PARR et autres photographes, un lieu dédié à la photographie que j’aime à visiter à chaque renouvellement d’exposition.

Clermont-Ferrand vit!  si l’on dit que les français sont des râleurs nés et c’est vrai! Il est temps de dire bravo à un ensemble d’initiatives publiques, privées, associatives qui ont donné un autre visage à la ville, nous permettent de mieux la vivre. Alors, pour ceux qui ne sont pas passés par nos montagnes récemment, venez! vous constaterez qu’il n’y a pas que nos pneus et nos fromages qui méritent votre attention!

Pardonnez cet excès de chauvinisme mais ça devait sortir!

Une vue animée de la Place de Jaude

Une photo prise durant la finale gagnée par l’ASM, sur l’autre face de la place de Jaude, derrière l’écran géant. Je n’ai pas résisté à prendre cette image où ce couple en premier plan semble être isolé du monde, alors que tout est en mouvement autour d’eux.

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De la nouveauté

Un nouveau joujou

Tout est dit ou presque dans ce joli faire part réalisé par ma graphiste officielle Sophie Navas.

Pour pouvoir réaliser des impressions numériques de haute qualité sur des papiers en rouleau allant jusqu’à 61 cm de large, ce traceur sera bien utile, les premiers tests en cours mettent l’eau à la bouche! (et un peu sur le papier).

Attention, cela n’est pas pour faire concurrence à mes confrères en matière de tirage photographique. J’en profite pour citer Photo plus, rue des gras à Clermont-Ferrand et Cromarias à Cournon qui font du bon travail ainsi que Pascal Jupillat, pour le noir et blanc. je m’excuse envers les autres que je connais moins. Photographe, je suis, photographe, je reste et je ne compte pas étendre mes activités au tirage.

Juste pour réaliser certains tirages expos, des affiches en petits tirages pour mes clients comme les salles des ventes ou bien faire des épreuves de certaines campagnes de communication.

Au passage, cette belle machine offre la possibilité d’imprimer sur toile, bâches, autocollants et autres, de quoi s’amuser un moment…

Ceci s’inscrit dans les nouveaux développements à venir et un retour sur le papier fait du bien, la photo, en numérique a parfois quelque chose de moins concret.

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Twestival de Clermont-Ferrand

Et bien oui, je dispose depuis peu d’un compte twitter (@_nicolasroger_) ce qui m’a amené à participer à la soirée du Twestival.

Les bonnes initiatives méritent d’être soutenues alors je ne pouvais louper cet évènement au profit de la Croix rouge se déroulant à la Coopérative de mai. Un concert des Cracbooms et des Bewitched hands pendant lequel des artistes ont réalisé des œuvres destinées à être vendues aux enchères pour la Croix rouge.

Parmi les artistes, agou ( plus connue ici sous son vrai nom, Sophie Navas, le monde est petit!) , pulcomayo , anto, cess et florent qui ont réalisées leurs oeuvres en live et galliane de « A l’ombre des murmures » qui a fourni pour la vente des photos dont je me suis porté acquéreur!

D’ailleurs, j’en profite pour vous rappeler ou prévenir que certaines œuvres réalisées durant la soirée seront mises en vente rapidement! De manière générale, si vous avez besoin de renseignements sur le Twestival, voici leur site.

Voilà, je vous mets quelques images de la soirée pour vous en rendre compte (merci aux organisateurs).

The Bewitched hands

Les artistes à l’oeuvre

Guitariste de The Cracbooms

The Cracbooms

Et quelques images de plus ici!

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